Cela fait sept jours que nous sommes là. La guerre fait des ravages dehors, mais nous avons eu de la chance de garder tout le monde en vie jusqu'à présent...
Nous avons passé le quartier au peigne fin, il est de plus en plus difficile de trouver des choses utiles. Il faut vraiment que cette guerre se termine.
Les bandits sont venus nombreux, comme une meute de chiens affamés. Nous les avons repoussés à chaque fois et tout le monde a survécu. C'est un miracle !
Enfin hors de danger, je me retournai vers la ville en flammes et pleurai. Je pensai alors à tous ceux qui voulaient quitter la ville, leur souhaitant de tout mon cœur d'y arriver. De fuir Pogoren.